Les encombrants
Un diplôme de Marilou Rosambert
Reportage photographique de Marilou Rosambert autour des encombrants.
Marilou Rosambert est diplômée en design en 2021.
Marilou Rosambert s’empare de la thématique des encombrants pour questionner notre rapport aux objets. Les garder ou s’en séparer ? Pourquoi nous conservons et nous abandonnons les objets que nous aim(i)ons ? Elle aborde aussi les questions de circularité, de réemploi et d'Upcycling. Comment mettre en valeur les objets dont les gens se débarrassent ? Que deviennent ils dans les mains des recycleries, des artistes et des designers ?
ANIMA
L’envie de ne pas abandonner les objets fait de mon travail de diplôme une recherche continuelle autour du réemploi et du recyclage. À l’inverse du principe de design « La forme suit la fonction » de Louis Sullivan, ma recherche vise à créer la fonction et l’usage pour répondre à la forme. Je me plie à la contrainte de ne créer qu’avec des éléments de récupération provenant des encombrants. Je glane, j’observe, je réinvente pour permettre à ces objets de réintégrer un circuit d’usage. J’invite à ne pas juger un objet par son passé, sa provenance et son état, mais par son potentiel.
Pour chaque objet récupéré je décompose, je répertorie les faiblesses et le potentiel pour recomposer.
Marilou Rosambert s’empare de la thématique des encombrants pour questionner notre rapport aux objets. Les garder ou s’en séparer ? Pourquoi nous conservons et nous abandonnons les objets que nous aim(i)ons ? Elle aborde aussi les questions de circularité, de réemploi et d'Upcycling. Comment mettre en valeur les objets dont les gens se débarrassent ? Que deviennent ils dans les mains des recycleries, des artistes et des designers ?
ANIMA
L’envie de ne pas abandonner les objets fait de mon travail de diplôme une recherche continuelle autour du réemploi et du recyclage. À l’inverse du principe de design « La forme suit la fonction » de Louis Sullivan, ma recherche vise à créer la fonction et l’usage pour répondre à la forme. Je me plie à la contrainte de ne créer qu’avec des éléments de récupération provenant des encombrants. Je glane, j’observe, je réinvente pour permettre à ces objets de réintégrer un circuit d’usage. J’invite à ne pas juger un objet par son passé, sa provenance et son état, mais par son potentiel.
Pour chaque objet récupéré je décompose, je répertorie les faiblesses et le potentiel pour recomposer.
Mémoire de fin d'étude, DNSEP Design, intitulé : L’Objet (dé)possédé (?)
Accessible au bout de ce lien : https://issuu.com/marilourosambert/docs/objet_d_poss_d_2021
Accessible au bout de ce lien : https://issuu.com/marilourosambert/docs/objet_d_poss_d_2021