
J’appréhende ma pratique du design avec la volonté d’utiliser uniquement des rebuts, dans le but de revaloriser des objets et des matériaux déchus, dévalorisés. En re-manifestant leurs spécificités, je tâche de les extraire d’un anonymat auquel ils n’étaient pas prédestinés.
Cela passe par la fabrication de mes propres machines et outils : pour le projet 451kg et ma pratique personnelle, j’ai fabriqué une machine à injection pour le plastique. La notion de geste et d’artisanat de la matière est également centrale dans ma pratique, notamment à travers le travail de la pâte à papier qui a été le point d’orgue de mon projet de DNSEP et que je continue encore à développer.
Ma volonté est de proposer une nouvelle narration à des artefacts standards, en maîtrisant mon échelle de production, et en assumant la matérialité des éléments que j’utilise.





Mémoire
Je t’aime, moi non plus.
lien : https://issuu.com/mathiasanger/docs/memoireweb
À travers Ikea, je m’intéresse au phénomène du « je t’aime, moi non plus ». Comment expliquer cette relation de tensions que nous entretenons avec la mondialisation et la standardisation ? Comment pouvons nous imaginer la diffusion de nos projets afin de mieux intégrer nos usagers dans le parcours de nos productions ? Et surtout : comment produire aujourd’hui ?
Je t’aime, moi non plus.
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À travers Ikea, je m’intéresse au phénomène du « je t’aime, moi non plus ». Comment expliquer cette relation de tensions que nous entretenons avec la mondialisation et la standardisation ? Comment pouvons nous imaginer la diffusion de nos projets afin de mieux intégrer nos usagers dans le parcours de nos productions ? Et surtout : comment produire aujourd’hui ?
Mémoire de DNSEP sous la direction de Nathalia Moutinho